Nous sommes à Liège, en 1927. Par un bel près-midi de printemps, Aurélie Renier, rayonnante, flâne dans le parc d’Avroy en tenant à la main un ample sac joliment agrémenté de dentelle. C’est un de ses innombrables travaux manuels réalisés durant sa scolarité chez les Filles de la Croix. Elle y emporte l’épaisse tresse de ses longs cheveux qu’elle vient de...